Lorsqu’il était interrogé, en 2010, sur d’éventuels « emprunts toxiques » souscrits par le Conseil général du Rhône, Monsieur Mercier, alors Président de cette assemblée départementale, minimisait tellement cette question que cela revenait à faire croire qu’aucun prêt de ce type n’avait été souscrit dans le Rhône !
Il parlait à l’époque d’un ou deux emprunts qui auraient été souscrits pour un montant maximum de 150 millions d’euros.
Aujourd’hui, après de multiples questions posées (et longtemps restées sans (...)