Deux mois de mobilisation historique ont obligé le gouvernement à reculer. La lutte des lycéen-ne-s, étudiant-e-s et salarié-e-s a permis le retrait du CPE.
Les manifestations massives, les journées de grève interprofessionnelle, l’occupation des facs et des lycées, les actions de blocage ont eu raison d’un gouvernement qui avait toujours refusé de dialoguer et avait tout misé sur le pourrissement et la répression. Ce sont bien deux mondes différents qui se sont fait face : d’un coté, des (...)